Tous les articles qui parlent de Libye

Le document d’adhésion, signé par Dr. Khaled Al-Mabrouk Abdullah, ouvre la voie à une coopération entre le gouvernement libyen et Afreximbank sur des projets de développement clés en Libye, en mettant l’accent sur la facilitation du commerce, le développement des infrastructures et le soutien financier à la nation nord-africaine.

La Libye a officiellement adhéré à l’accord d’établissement de la Banque Africaine d’Import-Export (Afreximbank), devenant ainsi la 53e nation membre. Avec l’adhésion de la Libye, la quasi totalité des pays africains sont aujourd’hui membres de cette institution financière dédiée au commerce, un cheminement vers le renforcement de la coopération continentale en matière de commerce et de développement.

En prévision d'un cycle d'octroi de licences pétrolières et gazières prévu pour 2025, la Libye cherche à attirer les investissements étrangers dans ses perspectives d'exploration à terre et ses infrastructures de production.

Dr. Khalifa Abdulsadek, le nouveau ministre libyen du Pétrole et du Gaz discutera de l'appel d'offres de 2025 et des plans de monétisation du gaz lors de l'African Energy Week (AEW) 2024 à Cape Town. Nommé en avril, il exposera le programme d'exploration et de développement du pays lors de l'African Energy Week : Invest in African Energy 2024

La Libye a en effet engrangé 20,69 milliards de dollars de l’export de l’or noir en 2023. L’institution a également indiqué que les recettes budgétaires totales du pays se sont établies à 125,9 milliards de dinars, soit 26,3 milliards de dollars durant l’année écoulée contre 134,4 milliards de dinars (28 milliards de dollars) l’année précédente.

C’est une première depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi, emporté par le «Printemps arabe» en 2011. Malgré les troubles des milices islamistes et la partition de fait du pays, les exportations pétrolières ont repris de plus belle, selon les données publiées dimanche 7 janvier par la Banque centrale.

Alors que le nombre de migrants arrivés sur ses côtes a plus que triplé depuis le début de l’année, Rome accuse ouvertement le groupe russe des mercenaires Wagner d’être derrière l’accélération de ces flux migratoires dans le cadre de la guerre hybride qu’il livre aux pays qui soutiennent l’Ukraine face à l’invasion russe.