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L’éolien en mer - ou éolien offshore – a connu un développement important au cours de ces vingt dernières années dans le monde, notamment en Europe, en Chine et en Amérique du Nord. Le Maroc fait partie des cinq pays de la région Mena (Moyen-Orient et Afrique du Nord) avec le meilleur potentiel éolien offshore identifiés selon le dernier rapport 2024 du Global Wind Energy Council (GWEC).

Bénéficiant d’un espace maritime côtier conséquent et venté, le Maroc entend poursuivre sa croissance verte inclusive avec pragmatisme et détermination. A ce titre, il pourrait accueillir des parcs éoliens offshore. Le déploiement de ce type d’énergies renouvelables pourrait soutenir la souveraineté énergétique du Royaume. Décryptage !

Dans une dépêche relayée par notre confrère Ecofin, l’agence ghanéenne de l’information (AGI) annonce que le groupe danois d’énergies renouvelables Renergy Solar «s’engage à soutenir le pays dans sa transition énergétique», en investissant dans le développement d’une centrale solaire de 40 MW. La première phase d’une puissance de 20 MW sera opérationnelle en 2025 selon l’engagement pris par le CEO de Renergy Solar, Mads Vestergaard Sørensen.

Dans une dépêche relayée par notre confrère Ecofin, l’agence ghanéenne de l’information (AGI) annonce que le groupe danois d’énergies renouvelables Renergy Solar «s’engage à soutenir le pays dans sa transition énergétique», en investissant dans le développement d’une centrale solaire de 40 MW.

«Cette opération marque une avancée significative dans la mobilisation des ressources pour le financement de projets de développement durable en Afrique de l’Ouest», explique l’institution bancaire dans un communiqué. L’émission obligataire hybride de la BOAD, assortie d’une maturité de 30 ans et d’une période de non-rachat de cinq ans, a été réalisée à un taux de coupon de 5,9% en équivalent Euro, précise la même source.

L’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), filiale du groupe de la Banque mondiale, vient d’émettre une garantie de 506 millions d’euros, soit l’équivalent de 535 millions de dollars, au profit des groupes Société Générale France et HSBC (Royaume-Uni), dans le cadre des prêts octroyés à la BOAD. C’est une preuve de confiance de plus placée en cette banque de développement régional

Si pour le moment la production n’est pas affectée par ce «dossier», selon l’agence Bloomberg, tout changement de donne pourrait creuser l’écart entre Glencore et le groupe chinois CMOC qui l’a supplanté en 2023 pour prendre le leadership mondial de cobalt. A date, aucune déclaration officielle n’a encore été faite au sujet du litige, les détails relayés dans la presse internationale indiquent que les autorités congolaises ont pris des mesures pour obliger Glencore à payer les redevances. Ces mesures comprennent le gel des comptes bancaires et la fermeture temporaire d’un entrepôt de la filiale du groupe.

La mine de Kamoto dans la province du Katanga, où le groupe suisse Glencore a déclaré au premier semestre une production de 88.000 tonnes de cuivre et 11.700 tonnes de cobalt, est au cœur d’un différend avec les autorités fiscales, la puissante DGRAD (Direction générale des recettes administratives, judiciaires, domaniales et de participations) qui lui réclame 895 millions de dollars d’impayés de redevances