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La Commission bancaire et gendarme du secteur bancaire au sein de la CEMAC, vient de procéder à une mise à jour de sa liste «d'entreprises d'importance nationale ou dont le poids dans l'économie est particulièrement élevé.» Au total, elles sont une quarantaine de sociétés «VIP» dont 14 du Gabon, 11 du Cameroun, 8 du Congo, 4 du Tchad et 3 de la Guinée équatoriale

La Commission bancaire et gendarme du secteur bancaire au sein de la CEMAC, vient de procéder à une mise à jour de sa liste «d'entreprises d'importance nationale ou dont le poids dans l'économie est particulièrement élevé.» Au total, elles sont une quarantaine de sociétés «VIP» dont 14 du Gabon, 11 du Cameroun, 8 du Congo, 4 du Tchad et 3 de la Guinée équatoriale.

Néanmoins, en dépit de toutes ces difficultés, il existe de vraies réussites avec des entrepreneurs professionnels et conscients que les rêves de grandeur ne sont pas compatibles avec cette activité. IL existe dans tous les continents des compagnies dites de «troisième niveau», terme qui devrait être modifié car un peu dévalorisant, et qui sont économiquement prospères. Que ce soit au Gabon ou Afrijet construit avec constance un réseau à base d’ATR 42 ou au Kenya où les lodges ne peuvent être atteints qu’avec des appareils de petite capacité comme les Cessna Caravan largement employés dans d’autres pays africains ou dans les pays asiatiques composés de myriades d’îles accessibles certes en bateau mais dont les dessertes aériennes restent indispensables.  

On parle beaucoup des difficultés que le transport aérien doit affronter pour faire face aux livraisons tardives de la part des constructeurs, aux contraintes liées au lobby écologistes, aux différentes taxations que les gouvernements infligent aux compagnies voire aux pénalités causées par les conflits entre les Etats et les décisions prises de fermer ou d’ouvrir certains espaces aériens tels que la Sibérie.