Aéronautique

Ce long développement pour se rappeler de l’extrême diversité des constructeurs et surtout des appareils lesquels n’étaient produits qu’à un petit nombre d’exemplaires, une série comme la Caravelle qui n’a pas dépassé 300 avions était considérée comme une grande réussite. L’environnement a bien changé. Les constructeurs se sont regroupés pour former de gigantesques ensembles à tel point qu’en dehors des constructeurs russes qui résistent et des chinois que se développent sans pour autant pénétrer les marchés internationaux, il ne reste plus qu’une poignée de fabricants d’avions : Airbus et Boeing pour les appareils de plus de 130 places et pour les plus petits appareils Embraer et ATR avec une mention pour Beechcraft qui produit encore un avion de 19 sièges.

Depuis la fin des années 1970, la gamme des appareils disponibles s’est rationalisée sous l’effet de la consolidation des constructeurs. Rappelons-nous qu’à cette époque les gros porteurs existaient déjà, fabriqués par les trois grands américains : Boeing, Douglas et Lockheed, mais les Européens avaient développé les appareils de milieu de gamme avec deux constructeurs majeurs : Aérospatiale devenue Airbus et British Aircraft Corporation, les deux avionneurs ayant même développé le mythique Concorde, jamais égalé, même s’il n’a pas eu une grande carrière commerciale. Et il ne faut pas oublier l’aviation régionale renaissante avec une gamme d’appareils certes disparates tels que le l’américain Beech 99, le canadien Twin-Otter, mais aussi avec les premiers Embraers Brasilia, voire même les allemands avec les Dorniers et même le VFW 614 dont la particularité était d’avoir les réacteurs sur les ailes et non en dessous. Et puis il y avait également les constructeurs soviétiques qu’ils soient russes comme Tupolev ou Iliouchine ou ukrainiens Antonov sans compter les Pays Bas avec Fokker ou les suédois constructeurs des SAAB. Même Dassault, spécialisé dans l’aviation militaire, s’était lancé dans l’aventure avec le Mercure hélas construit uniquement à 11 exemplaires, tous achetés par Air Inter.

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La récolte de blé s’est établie à 563.961 tonnes au terme de la campagne qui s’achève, a révélé Jenfan Muswere, ministre de l’Information dont les propos sont relayés par la presse locale et les agences internationales. C’est un niveau exceptionnel avec un bond de 20,5 % en effaçant au passage le record de 468.000 tonnes établi au cours de la campagne précédente. Pour les experts des marchés céréaliers, cette campagne illustre la résilience de la filière face à la sécheresse qui a fortement réduit les rendement

Au Zimbabwe comme dans la majorité des pays d’Afrique australe, la sécheresse provoquée par le phénomène climatique El Niño a gravement impacté la campagne agricole en 2023/2024. Mais la récolte du blé reprend du poil de la bête en échappant à cette morosité au point de réveiller de vieux souvenirs de l’époque où le pays était considéré comme le grenier de l’Afrique

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Un eco-airport, c’est quoi ? L’exemple de la décarbonation pour faire des émules entre Nantes Saint-Nazaire et Taïwan

Le Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace de Paris a ouvert ses portes au Bourget. Si la «décarbonation», consistant à réduire progressivement sa consommation d'énergies primaires émettrices de gaz à effet de serre, est sur toutes les lèvres ; le rapprochement des filières navales et aéronautiques peut anticiper et faire décoller de nouveaux rêves à haute forte intensité de recherche et de partenariat.

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