Tous les articles qui parlent de Omar Alieu Touray

Dans un communiqué publié le 29 janvier 2025, la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) a annoncé qu'elle maintiendrait la zone de libre-échange avec l’AES – composé du Burkina Faso, du Mali et du Niger – «jusqu’à nouvel ordre.» Cette décision survient après leur retrait officiel de l'organisation régionale, suite à l’escalade des tensions provoquées par les sanctions imposées par la CEDEAO en réponse aux coups d'État militaires.

Fin 2024, l’Alliance des États du Sahel (AES) avait déjà assuré qu’elle continuerait de maintenir la libre circulation avec la CEDEAO. Depuis la sortie officielle des trois pays membres de l'AES le 29 janvier 2025, les regards se tournent vers l’évolution des relations entre ces deux blocs, avec des discussions à venir pour définir les modalités de coopération future

L'organisation ouest-africaine a décidé de mettre en place une "période de transition" qui durera jusqu'au "29 juillet 2025", afin de "maintenir les portes de la Cedeao ouvertes aux trois pays pendant cette période", a déclaré Omar Touray, président de la Commission de la Cedeao. Selon le règlement, "les trois pays cesseront officiellement d'être membres de la Cedeao à partir du 29 janvier 2025", a précisé M. Touray.

Les chefs d'Etat et de gouvernement de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cedeao) réunis dimanche pour un sommet ordinaire à Abuja, ont annoncé un délai de rétraction de six mois pour les régimes militaires du Burkina Faso, du Mali et du Niger, après la date de leur départ officiel de l'organisation fin janvier 2025, afin qu'ils puissent revenir sur leur décision

Le texte constitutionnel adopté avec une écrasante majorité par l'Assemblée nationale, largement dominée par le parti au pouvoir, l'Union pour la République (UNIR), crée également de nouvelles fonctions.

La Communauté Économique des États de l'Afrique de l'ouest (CEDEAO) a annoncé lundi soir 15 avril le déploiement d'une mission exploratoire au Togo dans le cadre du processus électoral en cours, mais surtout avec la crise née de la nouvelle Constitution votée par le Parlement togolais dans la soirée du 25 mars dernier

Lomé, la capitale togolaise a accueilli, le 31 mai 2023, une table ronde de haut niveau sur les engrais et la santé des sols en Afrique de l'ouest et au Sahel avec la participation des chefs d’État de la Guinée-Bissau, Umaro Sissoco Embaló, du Niger, Mohamed Bazoum et l’hôte de la table ronde le Président togolais, Faure Essozimna Gnassingbé.