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Le consortium s’appuie sur des forces complémentaires pour guider la Banque vers une nouvelle étape de son développement. Le consortium formé par Enko Capital, société d’investissement international de référence en Afrique avec plus d’1 milliard de dollars de capitaux sous gestion dirigée par Alain et Cyrille Nkontchou, et Oronte, représentée par Bastien Ballouhey, allie expertise internationale et ancrage local pour garantir une continuité stratégique tout en insufflant une nouvelle vision ambitieuse. Investissant à parts égales, le consortium compte renforcer la trajectoire d’une banque solide opérant selon les standards internationaux. Le consortium s’appuie sur une base de partenaires diversifiés, portés par Enko Capital, incluant des investisseurs internationaux, régionaux et africains et des fonds de retraite.

Le consortium Enko Capital - Oronte annonce la signature d’un accord en vue de l’acquisition de Société Générale Mauritanie (SGM), marquant une étape majeure dans le renforcement du secteur bancaire en Mauritanie. Le consortium ambitionne d’accélérer le développement de la Banque à fort ancrage local et opérant selon les standards internationaux, au service de la clientèle des entreprises et des particuliers. Cet accord sera soumis à l’autorisation des autorités de régulation mauritaniennes

Le président sortant a déjà mis en branle une machine bien huilée, en choisissant son directoire de campagne au sein même du parti au pouvoir, El Insaf dont des figures de proue sont aux commandes : Sid’Ahmed Ould Mohamed, actuel ministre de l’Habitat, de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire, coopté par le président Ghazouani comme directeur national de sa campagne, et Sidi Mohamed Ould Maham, directeur général du Port autonome de Nouakchott (PANPA), ancien ministre et ancien président du parti au pouvoir, désigné directeur de campagne adjoint.

En Mauritanie, les partisans des sept candidats à la présidentielle du 29 juin 2024 n’ont pas attendu l’ouverture de la campagne électroale, prévue le 14 juin prochain, pour aller à la rencontre des électeurs qui décideront de qui présidera aux destinées des Mauritaniens à partir d’août prochain, date retenue traditionnellement pour l’investiture du président élu

Lié au projet d'hydrogène vert à très grande échelle de CWP, AMAN qui est situé dans le nord- ouest de la Mauritanie, un nouveau centre DRI pourrait accueillir plusieurs usines à base d'hydrogène vert. Elles seront capables de convertir le minerai de fer brut mauritanien en millions de tonnes de fer vert briqueté à chaud (HBI) par année, principalement destiné à l'exportation vers l'industrie sidérurgique européenne.

La Société Nationale Industrielle et Minière (SNIM), la compagnie minière nationale mauritanienne, et AMAN Green Energy Pte Ltd, la filiale du group indien CWP Global pour le développement de son projet AMAN, un pôle d’hydrogène vert en Mauritanie, ont signé le 4 mai un protocole d’accord, dans le but de collaborer sur un nouveau centre potentiel de production de fer vert à réduction directe (DRI) en Mauritanie

Pour beaucoup d’observateurs, l’élection présidentielle du 29 juin prochain n’a pas d’enjeu véritable, à part,  peut-être, celui de savoir si le président Mohamed Ould Cheikh El-Ghazouani passera au premier tour, comme en 2019, (52%) ou s’il sera forcé à défendre son fauteuil après un second round où l’opposition devra s’unir pour montrer qu’elle existe malgré la débâcle de juin 2023 lors d’élections municipales, législatives et régionales gagnées haut la main par un parti au pouvoir au meilleur de sa forme et bénéficiant du déclin de l’opposition traditionnelle représentée par l’APP (Alliance populaire progressiste), du RFD (Rassemblement des forces démocratiques), de l’AJD/MR (Alliance pour la justice et la démocratie, mouvement de la rénovation) et l’UFP (Union des forces de progrès).

Les Mauritaniens repartent aux urnes, le 29 juin prochain, pour se choisir un président de la République. Face au président sortant, unique candidat de la majorité présidentielle forte d’une quinzaine de partis politiques, l’opposition, elle, part en rangs dispersés. A ce jour, ils sont six candidats déclarés pour tenter d’être président à la place du président, avec des cartes et opportunités diverses, mais ils doivent d’abord franchir l’obstacle des parrainages dont décide, en dernier recours, le parti au pouvoir, El Insaf, et ses alliés de la majorité présidentielle