Tous les articles qui parlent de Justice

Dans cette affaire qui dure depuis près d’une décennie, la justice britannique veut déterminer si Shell et sa filiale nigériane (SPDC) peuvent être tenues pour responsables de ces déversements de pétrole. Des incidents qui, selon les populations locales, ont détruit leurs fermes, contaminé l’eau et ruiné leur mode de vie.

Selon des informations relayées dans la presse financière internationale, une audience devant la Haute Cour de Londres, au Royaume-Uni, a été ouverte mercredi 12 février contre le groupe pétrolier anglo-néerlandais Shell. La plus haute instance judiciaire britannique évaluera les accusations contre la multinationale pour des déversements de brut ayant pollué de vastes zones du delta du Niger au Nigeria, affectant les communautés locales, notamment le peuple Ogoni

Le président américain Donald Trump a signé jeudi un décret prévoyant des sanctions contre la Cour pénale internationale (CPI), accusée d’avoir «engagé des actions illégales et sans fondement contre l’Amérique et notre proche allié Israël.»

Le 47e président des Etats Unis vient de piétiner le droit international en signant un décret présidentiel qui interdit l’entrée aux Etats-Unis aux dirigeants, employés et agents de la CPI, ainsi qu’aux plus proches membres de leurs familles et à quiconque considéré comme ayant apporté son aide aux travaux d’enquête de la Cour

Le Procureur du Faso dit avoir été saisi par réquisitoire introductif aux fins d’instruire sur «des faits de détournement de deniers publics, d’octroi d’avantages injustifiés, et de blanchiment de capitaux contre l’ancien Président de l’Assemblée nationale, Alassane Bala Sakandé et cinq autres personnes.»

Au Burkina Faso, l’ancien Président de l’Assemblée nationale, Alassane Bala Sakandé, l’ancien ministre des Sports, Dominique Nana et l’ancienne ministre en charge de l’Action humanitaire, Nandy Somé/Diallo sont dans le viseur de la justice qui a récemment intensifié la lutte contre la corruption et les détournements de fonds publics

L'affaire, qui découle du mandat du CLG d'aider la RDC à recouvrer les pertes dues au scandale de corruption de Glencore, a pris une ampleur internationale. Malgré les efforts considérables déployés par le CLG pour amener Glencore à rendre des comptes, la RDC et l'APLC n'ont pas honoré leurs obligations de paiement au titre de la lettre d'engagement signée en 2022. De manière spectaculaire, la RDC a tenté de se distancer de l'arbitrage, affirmant qu'elle n'était pas liée par l'accord contractuel. Cette objection juridictionnelle était une tentative flagrante d'échapper à ses responsabilités tout en sapant les contributions du CLG à la lutte contre la corruption et à la garantie de la justice pour le peuple congolais.

Dans une décision décisive de la Chambre de commerce internationale (CCI), le tribunal arbitral a rejeté les dernières objections juridictionnelles de la République démocratique du Congo (RDC), marquant une victoire procédurale majeure pour Centurion Law Group (CLG) dans son arbitrage en cours contre la RDC et son agence de prévention et de lutte contre la corruption, l'Agence de Prévention et de Lutte contre la Corruption (APLC).

Rigathi Gachagua doit faire face à plusieurs chefs d'accusation très graves, allant de la corruption, d'abus de pouvoir jusqu’aux violations flagrantes de la Constitution et aux crimes économiques. Il est également accusé d’avoir fomenté la division ethnique. Autant dire que la barque est bien chargée. Tout en rejetant ces accusations, le vice-président affirme que « sa destitution est une manœuvre politique » liée à ses désaccords avec le chef de l’Etat, William Ruto. Il conteste avec véhémence le processus de destitution, qu'il juge entaché d'«irrégularités ».

Le vice-Président kényan, Rigathi Gachagua, a été démis de ses fonctions à la suite du vote intervenu mardi 8 octobre à l’Assemblée nationale. La motion de destitution initiée par une parlementaire du parti présidentiel, a été adoptée avec 281 votes sur 349 suffrages exprimés, largement au-dessus des 2/3 requis pour la validation du vote. Pour que la décision soit définitive, il faudra que le Sénat vote à son tour. Le vice-Président qui était en froid depuis plusieurs mois avec le Président William Ruto, crie au complot et à la mascarade.