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La Korea-Africa Foundation (KAF) est un organisme affilié au gouvernement coréen, placé sous l’autorité du ministère des Affaires étrangères, et dédié au renforcement de la coopération entre la Corée et l’Afrique. La KAF soutient l’implantation des startups coréennes sur les marchés africains via des programmes d’accélération, de business matching et des partenariats autour de l’innovation. En accompagnant ces 7 exposants - EKLEER, Movements, CAST, BODIT, Purple Education, H2O HOSPITALITY, SHERPA SPACE - la KAF ouvre de nouvelles perspectives de collaboration et d’expansion. De l’agriculture pilotée par intelligence artificielle aux solutions digitales d’apprentissage et de gestion hôtelière, ces startups proposent des solutions à fort impact, avec des cas d’usage démontrés en Afrique.

Comment la technologie coréenne peut-elle accélérer la transformation du continent africain ? La Korea-Africa Foundation (KAF), en partenariat avec PEN Ventures et IMPACT Lab, accompagne sept des startups les plus prometteuses de Corée lors du GITEX Africa 2025, événement majeur consacré à la tech et à l’innovation, qui se tiendra du 14 au 16 avril 2025 à Marrakech.

À travers ce partenariat, le Groupe AXIAN, via ses entités YAS et JOVENA, met à disposition du ministère des Affaires étrangères un ensemble de solutions innovantes dans les domaines de la connectivité, des télécommunications et de l’énergie. Ces solutions viendront compléter et renforcer les dispositifs institutionnels déjà en place pour garantir le bon déroulement du sommet.

Dans le cadre de la préparation du Vème Sommet des Chefs d'État et de gouvernement de la Commission de l’Océan Indien (COI), le ministère des Affaires étrangères de Madagascar et le Groupe AXIAN ont signé un protocole de partenariat. Cette collaboration vise à renforcer l'organisation de cet événement majeur en apportant un soutien logistique et technologique essentiel.

De nombreuses PME-PMI africaines souvent pénalisées par la conjoncture, disposent généralement de ressources et d’opportunités sous-exploitées (compétences, capacités de production sous-utilisées, potentialités, temps/hommes, stocks excédentaires, créances improductives, actifs sous-utilisés, etc.), qu’elles peuvent utiliser comme moyen alternatif de paiement (hors trésorerie), en s’inspirant d’un précédent très réussi, fonctionnant actuellement en Suisse.

Les différentes réactions recueilles récemment sur place en Tunisie, en rapport avec la nouvelle loi instaurée par les autorités pour lutter contre le phénomène des chèques sans provision mettent en lumière l’une des problématiques qui se pose aux PME-PMI africaines en général : la nécessité de trouver un «mode de financement alternatif moderne», limitant la dépendance vis-à-vis des liquidités, donnant la sécurité tant aux créanciers qu’aux débiteurs, et facilitant les échanges entre les acteurs économiques

Ce long développement pour se rappeler de l’extrême diversité des constructeurs et surtout des appareils lesquels n’étaient produits qu’à un petit nombre d’exemplaires, une série comme la Caravelle qui n’a pas dépassé 300 avions était considérée comme une grande réussite. L’environnement a bien changé. Les constructeurs se sont regroupés pour former de gigantesques ensembles à tel point qu’en dehors des constructeurs russes qui résistent et des chinois que se développent sans pour autant pénétrer les marchés internationaux, il ne reste plus qu’une poignée de fabricants d’avions : Airbus et Boeing pour les appareils de plus de 130 places et pour les plus petits appareils Embraer et ATR avec une mention pour Beechcraft qui produit encore un avion de 19 sièges.

Depuis la fin des années 1970, la gamme des appareils disponibles s’est rationalisée sous l’effet de la consolidation des constructeurs. Rappelons-nous qu’à cette époque les gros porteurs existaient déjà, fabriqués par les trois grands américains : Boeing, Douglas et Lockheed, mais les Européens avaient développé les appareils de milieu de gamme avec deux constructeurs majeurs : Aérospatiale devenue Airbus et British Aircraft Corporation, les deux avionneurs ayant même développé le mythique Concorde, jamais égalé, même s’il n’a pas eu une grande carrière commerciale. Et il ne faut pas oublier l’aviation régionale renaissante avec une gamme d’appareils certes disparates tels que le l’américain Beech 99, le canadien Twin-Otter, mais aussi avec les premiers Embraers Brasilia, voire même les allemands avec les Dorniers et même le VFW 614 dont la particularité était d’avoir les réacteurs sur les ailes et non en dessous. Et puis il y avait également les constructeurs soviétiques qu’ils soient russes comme Tupolev ou Iliouchine ou ukrainiens Antonov sans compter les Pays Bas avec Fokker ou les suédois constructeurs des SAAB. Même Dassault, spécialisé dans l’aviation militaire, s’était lancé dans l’aventure avec le Mercure hélas construit uniquement à 11 exemplaires, tous achetés par Air Inter.

La troisième édition de GITEX Africa sera un carrefour mondial pour les acteurs de l’innovation technologique, réunissant des experts, des gouvernements, des entreprises, des investisseurs et des universitaires venus de 130 pays. Cette année, l’événement s'agrandit encore et se veut plus ambitieux que jamais. Le programme met en lumière les dernières avancées dans des domaines aussi variés que la cybersécurité, l’intelligence artificielle, les villes intelligentes, le cloudcomputing, la santé numérique (Healthtech), et l’éducation (Edtech).

L'Afrique est aujourd'hui à un tournant décisif de sa transformation numérique. Ce continent en pleine effervescence est sur le point de vivre une révolution portée par l'intelligence artificielle (IA). Le plus grand événement technologique d'Afrique, GITEX Africa 2025, qui se tiendra à Marrakech du 14 au 16 avril 2025, constitue un levier stratégique pour cette transition numérique. Ce rendez-vous incontournable s’impose comme un catalyseur de l'innovation, favorisant l'émergence de nouvelles opportunités dans des secteurs clés pour le continent.

Le fait que bp ait annoncé pourtant que le puits concerné est «en réparation» n’a pas rassuré complètement ceux qui commencent à douter sur le véritable impact socio-économique de l’énorme gisement gazier découvert au large du Sénégal et de la Mauritanie. Ce scepticisme ne vient pas uniquement du fait qu’un ancien ministre mauritanien de l’Economie et des Finances, fin connaisseur du domaine, ait déclaré que les retombées de l’exploitation de GTA ne sont pas attendues sur le court et moyen termes, mais parce que tout problème qui surgit au moment de la mise en exploitation du gaz va être inscrit au registre des charges et amoindrir, du coup, ce que la Mauritanie et le Sénégal sont en droit d’attendre comme retombées financières au terme d’accords mal négociés au départ, estiment des experts indépendants des deux pays.

Le gaz du gisement transfrontalier mauritano-sénégalais de Grand Tortue Ahmeyim (GTA) hiberne depuis deux mois, alors que la société bp et ses partenaires, KosmosEnergy, la SMH et Petrosen avaient annoncé, en grande pompe, le début de l’exploitation début janvier. L’annonce impromptue d’une fuite de gaz, le 19 février, semble avoir tempéré les ardeurs, à tel point que le pessimisme commence à gagner le cœur de la plupart des citoyens mauritaniens déjà échaudés par le manque d’impact réel d’autres ressources comme l’or, le cuivre et le fer exploités pourtant depuis des décennies