Tous les articles qui parlent de Crimes organisés

Bassirou Diomaye Faye est revenu sur le chavirement d’une pirogue transportant des migrants irréguliers au large de Mbour, survenu le 8 septembre courant et faisant plusieurs morts, estimant - cité par l'APS- que cette "tragédie" a révélé "la complexité de la problématique de l’émigration clandestine, entretenue par des réseaux bien organisés, véritables trafiquants d’êtres humains et marchands d’illusions qui doivent être sanctionnés par la Justice à la hauteur de leurs actes."

Le Président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, a annoncé, mercredi en Conseil des ministres, un programme budgétaire spécial ”Prévention et lutte contre la migration irrégulière”, demandant au Premier ministre d’engager, "dans les meilleurs délais (...) des concertations nationales inclusives", en vue "d’ajuster" la stratégie nationale de lutte en la matière, a rapporté l'Agence de presse sénégalaise (APS / Officielle)

La justice française lui reproche de ne pas agir contre la diffusion de contenus criminels ou délictueux, notamment par une absence de modération et de collaboration avec les enquêteurs, sur Telegram, qui compte plus de 900 millions d’utilisateurs. Des accusations réfutées par l’entreprise.

Le Président-fondateur de Telegram, arrêté à l’aéroport du Bourget, est accusé par la justice française de ne pas agir contre la diffusion de contenus criminels ou délictueux sur la messagerie cryptée. Sa garde à vue a pris fin et il va être présenté à un juge, en vue d’une éventuelle mise en examen

La magistrate Georges Agathe Glele Olloe, doyenne des juges d’instruction du pôle pénal économique et financier, en charge de l’enquête, n’a pas hésité à transférer Abbas Badreddine à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan, ainsi qu’une dizaine d’autres Ivoiriens d’origine libanaise.

C’est une bombe que relève notre confrère Jeune Afrique dans sa dernière «Lettre confidentielle.» Suspectés d’acquisition frauduleuse de la nationalité et de trafic de passeports, plusieurs Ivoiriens d’origine libanaise ont été incarcérés à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA). Ils bénéficiaient d’un réseau d’hommes d’affaires influents.