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Le champ Mabruk assurait une production moyenne estimée à 34 000 b/j avant d’être fermé en 2015, en raison de l’intensification des conflits armés en Libye. Selon Reuters, il est de nouveau opérationnel depuis dimanche 9 mars dernier, produisant à un rythme initial 5.000 b/j. Une montée en puissance de la production est attendue au cours des prochaines semaines, avec notamment 7.000 b/j prévus d’ici fin mars avant d’atteindre 25.000 b/j d’ici juillet.  

Lentement mais sûrement, Tripoli poursuit le plan de relance de sa production pétrolière avec la reprise des activités sur le très stratégique champ Mabruk après une décennie d’arrêt dû à l’instabilité dans laquelle était plongé le pays après le «Printemps arabe», rapporte l’agence Reuters. La remise en service de ce gisement représente le franchissement d’un nouveau palier pour la Libye qui envisage de porter son plateau de production de brut à 2 millions de barils par jour d’ici 2026

Avec 425 milliards de mètres cubes, le bloc GTA est un gisement de grande envergure. Avec une capacité de production de 2,5 mtpa dans la première phase et de 5 mtpa dans la seconde - selon que les développeurs du projet décident ou non de doubler la capacité de l'infrastructure FLNG -, le projet offre un nouvel approvisionnement crucial pour les consommateurs européens et une source de revenus stratégique pour le Sénégal et la Mauritanie. Si le projet ne comblera pas nécessairement le vide laissé par la Russie - après exportation et regazéification, la première phase de GTA exportera l'équivalent de 3,69 milliards de m3 - il jouera un rôle stratégique dans la diversification des chaînes d'approvisionnement mondiales et dans la stimulation d'une croissance économique durable au Sénégal et en Mauritanie. Alors que la première phase du projet donne la priorité aux exportations, la seconde phase comporte une forte composante de gaz local pour les deux pays.

Le Sénégal et la Mauritanie ont franchi une étape historique avec le démarrage des opérations du projet Greater Tortue Ahmeyim (GTA). Les développeurs du projet, bp et Kosmos Energy, ainsi que la compagnie pétrolière nationale (NOC) sénégalaise Petrosen et la société mauritanienne des hydrocarbures (SMH), ont officiellement ouvert le premier puits du projet GTA, signalant ainsi le début des opérations techniques et une nouvelle ère de développement axé sur le gaz et la sécurité énergétique en Afrique de l'Ouest

Le stock annoncé enregistre une baisse de 5 % par rapport aux prévisions de récolte de 650.000 tonnes formulées par le Conseil du cacao (Cocobod) en début de campagne. Ce «profit warning» est principalement attribué à l’arrivée de l’harmattan dont les vents chauds et secs devraient affecter la productivité des vergers jusqu’en février 2025.

La récolte de cacao est désormais attendue à 617.500 tonnes pour la campagne 2024/2025 qui a débuté en septembre 2024, rapporte l’agence Bloomberg citant «des sources proches de l’industrie ayant requis l’anonymat.»

Au début de la cérémonie d’ouverture de cette 16ème édition, dont l’invité d’honneur est le Royaume d’Espagne, le Prince Héritier Moulay El Hassan a procédé à la remise de 3 certificats de reconnaissance des Signes Distinctifs d’Origine et de Qualité aux présidents des groupements de producteurs de produits de terroir labellisés au cours de la campagne 2023-2024.

Le Prince Héritier Moulay El Hassan a présidé, lundi au Mechouar Stinia-Sahrij Souani à Meknès, la cérémonie d'ouverture de la 16ème édition du Salon International de l'Agriculture au Maroc (SIAM), organisée sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, du 22 au 28 avril, sous le thème "Climat et agriculture : Pour des systèmes de production durables et résilients"

A part l’effondrement de la production en Afrique de l’Ouest, les stocks de cacao dans les ports américains sont tombés à leur niveau le plus bas depuis près de trois ans. Les chocolatiers américains ont transformé 3% de fèves de cacao en moins au quatrième trimestre 2023. Pour ne rien arranger, le sucre, l'autre ingrédient clé du chocolat, a vu son prix augmenter d'environ 25% l’an dernier.

Le cours du cacao, principal ingrédient du chocolat atteint un niveau record, dépassant les 10.000 dollars la tonne métrique ! Cela représente une augmentation exponentielle de plus de 130% depuis le début de l'année.