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Pour de nombreuses startups en Afrique, atteindre le statut de licorne reste un rêve lointain en raison de défis structurels. Pour combler ce fossé, les gouvernements et le secteur privé doivent favoriser des écosystèmes qui nourrissent l’innovation et la croissance entrepreneuriale à tous les niveaux.

Pour augmenter considérablement le nombre de gazelles et, par extension, la probabilité d'apparition de licornes, les parties prenantes doivent travailler ensemble pour surmonter les obstacles existants. Gazelles. Chameaux. Éléphants. Dans le jargon du capital-risque, nous avons une ménagerie pour décrire la trajectoire de croissance d'une startup. Cependant, au cours de la dernière décennie, l'aspiration ultime est restée la licorne : des entreprises privées valorisées à plus d'1 milliard de dollars. À l'échelle mondiale, il existe environ 1 200 licornes dans divers secteurs, et bien que la liste de l'Afrique soit plus petite, elle s'allonge. En février 2023, les sept licornes africaines identifiées opèrent principalement dans les secteurs de la fintech et du numérique, répondant aux défis des paiements sur tout le continent

Moniepoint a démarré ses activités en 2015 en fournissant des infrastructures et des solutions de paiement pour les banques et les institutions financières, mais elle s'est développée pour offrir également des services bancaires aux particuliers. Le dernier tour de table a été soutenu par les investisseurs existants : Development Partners International, basé à Londres, et la société de capital-investissement Lightrock. L'Africa Investment Fund de Google et Verod Capital sont devenus de nouveaux investisseurs.

Avec cette levée, la startup nigériane rejoint le club des startups à grande valorisation, ce qui lui confère le statut de "licorne", terme qui désigne les entreprises technologiques dont la valeur est égale ou supérieure à 1 milliard de dollars US. Son tour de table comprend des investisseurs dont un fonds soutenu par Google

La Securities and Exchange Commission du pays, a effectivement accordé ces premières licences et mis en place un programme de pré-enregistrement pour cinq startups crypto (Trovotech, Wrapped CBDC, HXAfrica, Dream City Capital et Blockvault Custodian). Un changement de ton qui contraste avec les précédentes actions du gouvernement qui étaient conçues pour freiner l’essor de l’écosystème crypto dans le pays. En 2021, les banques nigérianes n’avaient même pas le droit de fournir des services aux entreprises de cryptos. En février, l’accès à plusieurs bourses locales a été bloqué temporairement, et deux dirigeants de Binance ont été arrêtés, l’un d’eux étant toujours en prison. De plus, plus de 1 100 comptes bancaires liés à des traders crypto ont été gelés. Pour ne rien arranger, le trading de crypto a même été déclaré “problème de sécurité nationale” par le conseiller à la sécurité du Nigeria.

La réticence historique du gouvernement du Nigeria envers l'écosystème des cryptomonnaies semble s’atténuer. Une aubaine pour ce pays de 233 millions d’habitants - pays le plus peuplé d’Afrique - où les transactions en bitcoins et autres devises numériques pullulent ces dernières années. Mais derrière cette apparente bonne nouvelle, se cachent quelques subtilités dérangeantes

«Les finalistes de cette année du Challenge Fintech Ecobank ont démontré un talent et une innovation exceptionnels ; et nous sommes impatients de les accueillir à la Finale. Chez Ecobank, nous sommes engagés à collaborer avec ces créateurs d'entreprises pour développer des produits et services qui bénéficieront à nos clients et contribueront au progrès de notre continent», indique Jeremy Awori, Directeur général du Groupe Ecobank.

L’Afrique est aujourd’hui l’une des régions au monde où les fintechs connaissent un développement significatif. Pour accompagner ce secteur en plein développement, le Challenge Fintech Ecobank est conçu en partenariat avec le cabinet de conseil international Konfidants et est soutenu par divers partenaires, notamment Huawei, Proparco, TechCabal, BlueSpace, Afrilabs, Africa Fintech Network, MEST Africa, Naija Startups, Expand In Africa et Founders Africa.

Master Financial Group (MFG), dirigé par le jeune banquier ivoirien Mamadou Diarrassouba en tant que Président, a annoncé le 12 décembre la signature du protocole de prise de participation majoritaire dans le capital social de HES FINANCES SA, une institution de microfinance de premier plan en Côte d'Ivoire. La finalisation de cette transaction reste conditionnée à l'obtention des accords préalables des autorités de contrôle.

Master Financial Group (MFG) affirme ses ambitions pour la microfinance. La jeune société d’investissement basée à Abidjan (Côte d’Ivoire) et à Port-Louis (île Maurice), dirigée par le banquier ivoirien Mamadou Diarrassouba, va acquérir une participation majoritaire au capital de HES FINANCES SA, institution de microfinance leader en Côte d’Ivoire.