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Comparé au mois de juin 2023, l’Indice des prix à la consommation marque une hausse de 1,80 % au cours du mois de juin 2024, conséquence de la hausse de l’indice des produits alimentaires de 1,70 % et de celui des produits non alimentaires de 1,90 %. Pour les produits non alimentaires, les variations vont d’une baisse de 1,20 % pour la «Santé» à une hausse de 3,70 % pour les «logements, eau,  gaz, électricité et autres combustibles.»

L’Indice des prix à la consommation (IPC) qui mesure l’inflation, a connu au mois de juin une légère hausse de 0,4% comparée à mai. Cette variation résulte de la hausse de 0,5% de l’Indice des produits alimentaires et de 0,3% de l’Indice des produits non alimentaires. En variation annuelle, le taux d’inflation est retombé à 1,8%.

Dans cette même optique, le gouvernement a annoncé, le 30 avril dernier, l’augmentation des salaires des fonctionnaires de 25 à 35 %, avec effet rétroactif à partir du mois de janvier. Il a également relancé un programme de transferts sociaux directs aux ménages les plus pauvres, et distribué au moins 42.000 tonnes de céréales comme le maïs et le millet.

L'inflation chez le géant de l’Afrique de l’Ouest a atteint son plus haut niveau depuis 28 ans en avril 2024 pour s’établir à 33,69 % en glissement annuel contre 33,2 % en mars, selon des données publiées mercredi 15 mai 2024 par le Bureau national des statistiques (NBS)

Si l’inflation ralentit, cela tient avant tout à la normalisation des chaînes d’approvisionnement, la baisse des prix des produits de base et aux effets du resserrement monétaire, relève le groupe Crédit Agricole dans une note de synthèse. Ainsi, l'inflation médiane, en Afrique sub-saharienne, devrait s’établir à 5,1% cette année.

Si l’inflation ralentit, cela tient avant tout à la normalisation des chaînes d’approvisionnement, la baisse des prix des produits de base et aux effets du resserrement monétaire, relève le groupe Crédit Agricole dans une note de synthèse. Ainsi, l'inflation médiane, en Afrique sub-saharienne, devrait s’établir à 5,1% cette année.

Cette initiative annoncée à 2 mois de l’élection présidentielle, fait partie des nouvelles mesures sociales prises afin d’alléger le fardeau financier des populations face à la vie chère, justifie le ministre des Finances, Tahir Hamid Nguilin. En plus de prendre en charge les frais en cours, cette mesure est rétroactive car elle prend en compte également les arriérés des factures d’eau et d’électricité des ménages.

Depuis le 1er mars 2024, les ménages ne seront plus tenus de payer les factures d’eau et d’électricité pour des consommations ne dépassant pas les seuils sociaux mensuels de 300 kWh pour l’électricité et 15 mètres cubes pour l’eau

Le Ghana embourbé dans l’hyperinflation

Selon les données que vient de publier l’Institut national de Statistique, à fin août 2023, le taux d’inflation culminait à 40,1%, en retrait de 3 points. Mais la composante alimentaire de l’inflation, celle qui frappe de plein fouet les ménages elle, continue de s’embraser pour s’établir à 51,9% malgré un léger recul par rapport à juillet.

Moustapha Kadi Oumani, Membre du Conseil national de régulation de l’Autorité de régulation et de sûreté nucléaire du Niger : «Questions d’énergie au cœur des enjeux de développement»  

«Questions d’énergie au cœur des enjeux de développement»   C’est peu dire que la question de l’énergie est vitale. Pour s’en convaincre il suffit de regarder l’importance de l’usage de l’énergie notamment électrique dans notre quotidien qui, plus est, s’est généralisé. Pour autant, les ressources énergétiques ne sont pas infinies. Pour continuer à les exploiter, alerte Moustapha Kadi Oumani du Conseil national de régulation de l’autorité de régulation et de sûreté nucléaire du Niger, il va falloir apprendre à les gérer durablement. Car paradoxalement, rabâche-t-on au sein de l’association SOS Futur, organisation dotée du statut spécial du Conseil économique et social des Nations-unies (ECOSOC). Entretien.