Tous les articles qui parlent de Presidence

Amadou Hott insiste sur l'importance pour l'Afrique de diversifier ses sources de financement tout en veillant à ce que le coût des investissements reste attractif et que ces derniers génèrent un réel impact. Selon lui, l'Afrique ne doit pas être obligée de choisir un camp dans le cadre de la dynamique géopolitique mondiale. «L'Afrique doit défendre ses intérêts et choisir les meilleures personnes pour les représenter», déclare-t-il. Il souligne également la nécessité de développer un portefeuille de projets solides, prêts à être financés, afin de répondre aux exigences des partenaires internationaux. En tant que président de la Banque, il promet de rendre l'institution plus agile et proactive dans le développement de projets bancables.

Dans un entretien accordé à RFI et Jeune Afrique, Amadou Hott, ancien ministre sénégalais et candidat à la présidence de la Banque africaine de développement (BAD), a détaillé sa vision pour l'avenir de l'institution face aux défis économiques mondiaux. Pour lui, l'Afrique doit se préparer à mobiliser ses ressources et générer des rendements économiques, tout en maximisant l'impact social des investissements

Deux candidats viennent d'Afrique de l'Ouest: les anciens ministres de l'Economie du Sénégal (2019-2022), Amadou Hott et de Mauritanie (2008-2015) Sidi Ould Tah. Deux autres sont originaires d'Afrique australe : l'économiste zambien Samuel Munzele Maimbo et la Sud-africaine Bajabulile Swazi Tshabalala qui a été vice-présidente de l'institution. Le dernier candidat est l'ancien gouverneur de la Banque des Etats d'Afrique centrale (2017-2024), le Tchadien Abbas Mahamat Tolli.

Eux ce sont HOTT Amadou du Sénégal, Dr. MAIMBO Samuel Munzele de Zambie, TAH Sidi Ould de Mauritanie, TOLLI Abbas Mahamat du Tchad et Mme TSHABALALA Bajabulile Swazi d’Afrique du Sud. Ces cinq candidats ont été officiellement retenus pour succéder au Nigérian Akinwumi Adesina à la tête de la Banque africaine de développement (BAD), lors de l'élection prévue le 29 mai, a annoncé vendredi l'institution basée à Abidjan

Les hauts responsables de l’UA qui seront élus lors de ce sommet auront la lourde tâche de faire progresser l’agenda de transformation de l’organisation panafricaine et de relever les défis existants et émergeants auxquels le continent est confronte. Il s’agit ainsi d’œuvrer à atteindre les objectifs de développement du continent, tels qu'ils sont définis dans l'Agenda 2063. Cette élection se caractérise par la prise en considération de plusieurs principes clés à savoir la représentation régionale équitable, la parité hommes-femmes, la rotation prévisible, l’attraction et rétention des meilleurs talents africains, leadership et gestion responsables et efficaces, et sélection transparente et fondée sur le mérite.

Le 38ème sommet des chefs d’Etat de l’Union africaine (UA), qui se tient les 15 et 16 février au siège de l’Organisation panafricaine à Addis-Abeba, sera marqué par l’élection d’un nouveau leadership qui sera chargé de mettre en œuvre la vision de l’UA pour une Afrique en quête du progrès. Egalement programmé l’examen d’autres questions stratégiques dont la réforme institutionnelle de l’UA ou encore la mise en œuvre de la zone de libre-échange continentale africaine

Habitué des sorties polémiques sur les réseaux sociaux, Muhoozi Kainerugaba avait annoncé l'année dernière sur X, sa candidature à l’élection présidentielle de 2026, avant de supprimer sa publication. Fils unique du Président Yoweri Museveni, il avait également menacé en 2022 d'envahir le Kenya dans un message posté sur X, avant que son père ne lui demande de ne plus partager de messages sur les affaires de l’Ouganda.

Le Président Yoweri Museveni a nommé jeudi 21 mars son fils, le Général Muhoozi Kainerugaba, à la tête des forces armées du pays. Il s’agit en réalité d’une officialisation d’une situation de fait, car de par ses fonctions de conseiller le plus proche de son père en matière de sécurité, il était un peu le numéro un de l’armée.

Muhoozi Kainerugaba

Connu pour ses interventions fracassantes sur les réseaux sociaux, Muhoozi Kainerugaba, le fils du Président Yoweri Museveni vient de lancer un pavé dans la marre. Dans une nouvelle sortie qui fait jaser dans tout le pays, il a annoncé vouloir succéder à son père en briguant la présidence de la République aux élections prévues en 2026. L’opposition est vent debout.