Tous les articles qui parlent de Adama Coulibaly

Pour l’exercice budgétaire 2025, l’objectif est fixé à 5.191 milliards de FCFA (7,9 milliards d’euros), une ambition qui, selon le ministre de l’Economie et des Finances, Adama Coulibaly, «nécessitera une modernisation des procédures fiscales et un renforcement de la mobilisation des recettes» en s’adressant à l’état-major de la DGI réuni en séminaire en fin de semaine dernière à Yamoussoukro.

La Direction Générale des Impôts (DGI) a réalisé un excellent millésime 2024 en engrangeant 4.249,6 milliards FCFA (6,4 milliards d'euros) de recettes fiscales, soit  95,8 % de son objectif annuel fixé à 4 436,8 milliards de francs CFA. Ce résultat traduit une hausse de 513,5 milliards FCFA (782 millions d'euros) par rapport à l'exercice précédent, soit une progression de 13,7 %

Alors que les préparatifs du projet de loi de Finances 2025 entre dans la dernière ligne droite, le ministre des Finances et du Budget ivoirien, Adama Coulibaly, a annoncé une augmentation de 11,5 % du budget de l’Etat l’année prochaine, pour atteindre 15 301 milliards FCFA (25,1 milliards de dollars), soit l’un des tout premiers budgets en Afrique subsaharienne. Cette annonce a été détaillée mercredi 12 juin par Amadou Coulibaly, ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, à l'issue du Conseil des ministres.

Première économie de l’UEMOA, l’«Eléphant» est en forme, et il démontre. Le gouvernement ivoirien vient d’annoncer une augmentation sans précédent de 11,5% du budget de la Nation l’année prochaine. Celui-ci sera porté à 15.301 milliards de FCFA, soit l’équivalent de 25,1 milliards de dollars. L’objectif est d’accélérer la mise en œuvre du plan 2025-2027

Selon les prévisions de l’agence S&P Global Ratings, la Côte d’Ivoire devrait enregistrer une croissance moyenne du PIB réel de 6,5 % sur la période 2024-2027, soutenue par les investissements dans les infrastructures, l’industrialisation, l’augmentation de la capacité de transport et l’activité croissante dans les technologies de l’information et de la communication.

L’agence de notation financière S&P Global Ratings vient de réviser les perspectives de la Côte d'Ivoire, de stables à positives. En parallèle, elle a confirmé les notations de crédit souverain du pays à long et à court terme en devises et en monnaie locale à "BB/B"

Adama Coulibaly répond au passage à ceux qui l’accusent de «compromettre l’avenir du pays en gonflant la dette publique» que «la Côte d'Ivoire n'est pas un Pays Pauvre Très Endetté (PPTE). Nous sommes un pays à revenu intermédiaire. Et cela, vous pouvez le constater dans tous les rapports du FMI et de la Banque mondiale.»

Le projet de loi portant politique d'endettement et de gestion de la dette publique a été adopté à l’unanimité à la commission des Affaires économiques et financières du Sénat. Ce texte a été présenté et défendu par l’argentier du pays, le ministre des Finances et du Budget, Adama Coulibaly, mardi 14 mai, à la Fondation Félix Houphouët Boigny pour la paix

La première journée, le mardi 7 mai, est consacrée aux bourses africaines de matières premières agricoles et au lancement de la BMPA-CI de Côte d'Ivoire, qui en est actuellement à la dernière étape de sa phase pilote. Sous la forme d'un atelier, elle propose des discussions en panel, des exposés et des sessions interactives avec des experts du secteur, des régulateurs et des autorités. La BMPA-CI est la première bourse des matières premières agricoles de l'UEMOA et servira de modèle pour la mise en place de la Bourse régionale des matières premières agricoles de l'UEMOA, intégrant les huit pays de la sous-région.

Suite à ses deux premières incursions à la conquête des investisseurs étrangers en Afrique du Sud, à New York et à Londres en 2015 et 2018, le roadshow BRVM Investment Days est de retour dans la capitale économique sud-africaine, Johannesburg, le mardi 7 mai, promettant deux jours de dialogue stratégique sur les opportunités d'investissement en Afrique de l'Ouest, accueillis par la Johannesburg Stock Exchange. Des opportunités d’investissement et une nouvelle bourse des matières premières agricoles seront aux premières loges de cette rencontre

Le prêt du FMI servira à consolider les mesures de sauvegarde pour le secteur agricole tout en renforçant sa résistance aux aléas climatiques.

C’est un signe de plus de la qualité de signature du Trésor ivoirien auprès des bailleurs de fonds et de la santé retrouvée de l’économie du pays. En effet, le Conseil d’administration du FMI a approuvé vendredi 15 mars, un prêt de 1,3 milliard de dollars à Abidjan destiné au financement de l’adaptation et de la résilience climatique.