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Accueil - Franck Mathiere, Vice-président exécutif du Groupe Fayolle : «L’appel au secteur privé est une nécessité dans le domaine des infrastructures»

Franck Mathiere, Vice-président exécutif du Groupe Fayolle : «L’appel au secteur privé est une nécessité dans le domaine des infrastructures»

Drissa TraoréPar Drissa Traoré12 décembre 2023
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“Le schéma de développement de projets est à reconsidérer si on veut répondre aux défis du continent africain dans les décennies à venir. La priorité est l’implémentation de normes viables, en faveur notamment du climat des affaires, de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption.”
Franck Mathiere, Vice-président exécutif du Groupe Fayolle

Vice-Président exécutif du groupe Fayolle, Franck Mathiere, nous livre sa vision des besoins en infrastructure et des freins persistants à leur financement sur le continent. Il nous parle aussi des ambitions du Groupe sur le territoire africain et des projets réalisés au Cameroun.

AFRIMAG: Face à la perspective d’un continent africain, qui comptera 2,5 milliards d’habitants en 2050 et les nombreux défis structurels à venir, notamment en termes de mobilité, de transition énergétique, de santé ou d’éducation, se pose logiquement la question du financement de ces infrastructures, estimé ordinairement à plus de 100 milliards d’euros par an. Quelles sont les pistes qui vous semblent privilégiées pour combler ce gap de financement, dans un contexte économique international contraint par la guerre en Ukraine, l’inflation et les conséquences de la pandémie ?

“Notre force est d’offrir à nos clients une grande expertise en équipes intégrées et d’avoir une approche collaborative impliquant de multiples partenaires.”
Franck Mathiere, Vice-président exécutif du Groupe Fayolle

Franck Mathiere : La mise en place de financement pose en effet un réel problème dans certains pays, parfois surendettés et qui manquent de projets et de programmes «prêts à l’emploi» et «bancables.» La pandémie a impacté significativement l’activité économique, tout comme la baisse des exportations, aggravant la situation de surendettement de certains pays. C’est d’autant plus grave que l’Afrique possède la croissance la plus rapide du monde et doit répondre à de nombreux défis liés notamment au développement des infrastructures de production électrique, hydraulique et de transports. 

Le modèle traditionnel de financement repose sur les principes de bonne gouvernance — transparence, responsabilité, inclusivité, équité et État de droit. Ces conditions sont exigées par les banques et les bailleurs de fonds, qui doivent rendre des comptes aux contribuables et actionnaires. Cela exige des capacités institutionnelles, qui prennent du temps à se construire, ce qui retarde les processus à chaque étape du cycle des projets d’infrastructure. L’actualité prouve aussi que la survenue régulière d’évènements imprévisibles, notamment politiques, renforce ce risque. 

Le schéma de développement de projets est à reconsidérer si on veut répondre aux défis du continent africain dans les décennies à venir. La priorité est l’implémentation de normes viables, en faveur notamment du climat des affaires, de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption. 

Globalement, les projets d’infrastructure restent rentables en Afrique, selon la plupart des observateurs. Et pourtant, on constate toujours que le secteur privé reste en retrait. Quelle serait, selon vous, la meilleure approche pour « dérisquer » ces projets ?

Franck Mathiere : Les processus traditionnels de développement de projets ne répondent pas aux besoins à venir de l’Afrique. Ils représentent en effet un risque et sont donc un facteur d’inquiétude pour de nombreux partenaires. Avec un déficit d’infrastructures estimé à plus de 100 milliards de dollars associés à des besoins en matière d’éducation, de santé et de sécurité, l’Afrique doit absolument attirer des capitaux privés pour développer ses infrastructures.

Il est primordial, pour les gouvernements africains et les partenaires du développement, de repenser leur schéma de financement. Pour « dérisquer » les projets et attirer le secteur privé, il est nécessaire de renforcer les capacités institutionnelles, où les cycles de projets d’infrastructure seraient plus efficaces, tout en répondant aux exigences de qualité des projets d’infrastructures, le tout en restant dans une optique de développement de l’expertise locale, de transmission des savoir-faire et d’échange des bonnes pratiques.

Par ailleurs, je souhaiterais insister sur un point qui est un véritable handicap pour l’Afrique en matière de financement de développement. Malgré un environnement économique défavorable et la crise mondiale du crédit, il est intéressant d’observer qu’il y a, en 2023, un regain d’optimisme sur le continent africain. En effet, la baisse de l’inflation se confirme avec des prix de produits de base en baisse. Le dynamisme de la production agricole et industrielle en Afrique est réel, grâce notamment au dynamisme des ports. Le continent africain reste une vaste zone de libre-échange avec un PIB équivalent à celui de l’Inde. Dans le secteur financier, on observe également un certain dynamisme avec le maintien des activités de crédit qui montrent que la résilience de ce secteur est forte malgré le durcissement des conditions de crédit. L’avenir semble, à bien des égards, prometteur avec plusieurs signaux au vert. 

A lire également -  Ethiopie | CDC Afrique lance une stratégie pour transformer le mode de financement des systèmes de santé

Pour autant, un sentiment pessimiste persiste en dehors du continent. Il existe un réel problème qui concerne les notations souveraines des agences de notations, plus souvent influencées par la richesse des pays que par le risque réel de défaut. Il y a un deux poids deux mesures ! Contrairement aux pays africains, la plupart des pays occidentaux n’ont pas subi de dégradation de leur note, leur permettant de continuer d’accéder aux financements malgré une augmentation significative de leur endettement. Ceci entraîne une augmentation du coût des financements privés pour les gouvernements africains, car les investisseurs prennent en compte les notations de crédit et donc restent hésitants à entreprendre. Or compte tenu de la stagnation des flux de l’aide publique au développement, l’appel au secteur privé est une nécessité. Il jouera sans aucun doute un rôle crucial dans le financement du développement sur le continent africain. Il est à espérer solutions et propositions identifiées par les experts et dirigeants de la finance continentale africaine réunis mi-novembre à Lomé à l’occasion de la troisième édition de l’Africa Financial Industry Summit (AFIS 2023) rebondissent sur de nouvelles opportunités afin de favoriser une croissance économique, inclusive et verte.

AFRIMAG : Une géopolitique du financement des infrastructures africaines se dessine de plus en plus, avec la montée en puissance d’acteurs émergents sur le continent, comme la Chine, la Turquie ou les États du Golfe. Malgré une baisse de la place de la Chine, le pays reste le principal bailleur de l’Afrique dans ce domaine. Considérez-vous que cette tendance de nombreux pays à se placer «au chevet des besoins en infrastructures de l’Afrique» représente, à terme, un risque de souveraineté pour les gouvernements ?

Franck Mathiere : Les acteurs émergents sur le continent, comme la Chine, la Turquie ou les États du Golfe adoptent une approche non interventionniste en prenant l’environnement local pour acquis et n’imposent aucune exigence en matière de gouvernance. Cela permet des projets construits plus rapidement avec une promesse, à terme, de croissance économique et de développement social. 

La Chine adopte souvent une démarche pragmatique et elle est aussi en mesure d’apporter son propre financement, mais ses investissements sont souvent assortis d’une contrepartie. De plus, la Chine, tout comme les pays du Moyen-Orient, est dotée de structures financières et d’entreprises facilement disponibles et d’un réseau de partenaires capables de développer rapidement tous les projets d’infrastructures majeurs.

Si la Chine a permis à l’Afrique de mettre fin au monologue avec les anciennes puissances coloniales, ce modèle peut nuire au développement à long terme des pays partenaires en facilitant la corruption, en nuisant aux Droits de l’Homme, voire en augmentant la dette ce qui peut mettre en péril la souveraineté d’un État. L’exemple de Djibouti est, parmi d’autres, flagrant à ce sujet. Là encore, face au risque de souveraineté, le recours au secteur privé peut constituer une piste de réponse pour en minimiser le risque.  

AFRIMAG : Le groupe Fayolle a développé une expertise toute particulière dans les chantiers d’infrastructure dans les pays « en développement », où les besoins sont urgents et structurels. Quelles sont les spécificités de ce type de projets ?

Franck Mathiere : Notre force est d’offrir à nos clients une grande expertise en équipes intégrées et d’avoir une approche collaborative impliquant de multiples partenaires. Elle réside aussi dans notre capacité à répondre présent à toutes les étapes d’un projet, du financement, en passant par les études, jusqu’à sa pleine exécution et la satisfaction du client. Le groupe a déjà prouvé son expertise en utilisant la technologie BIM (Building Information Modeling), qu’il maîtrise depuis de nombreuses années avec le soutien d’équipes dédiées. Cela permet une meilleure gestion des enjeux de construction, d’optimiser toutes les activités de la conception à la modélisation en passant par la coordination de chantier.

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S’agissant de la spécificité des projets, la dynamique de la croissance démographique et de l’urbanisation dans les pays « en développement », notamment en Afrique, nécessitent de fournir des services d’infrastructures adaptés. Avec un modèle économique habituel, plusieurs dizaines d’années peuvent s’écouler entre la conception et l’achèvement d’un projet au terme duquel les infrastructures mises en place ne correspondent plus aux besoins de la population et de l’économie. Ce qui n’est évidemment pas acceptable. C’est pourquoi le groupe s’est organisé pour répondre à ces spécificités en offrant des cycles de projets d’infrastructure réactifs, efficaces, compacts et reproductibles avec des financements rapides et garantis tout en répondant simultanément aux exigences de qualité des projets et en promouvant le développement de l’expertise locale.

AFRIMAG : Vous êtes très implanté au Cameroun, où vous êtes engagés sur plusieurs projets d’ampleur, notamment dans le domaine des infrastructures sportives ou routières. Avez-vous des perspectives de développement ailleurs sur le continent africain ?

Franck Mathiere : Effectivement le groupe est très implanté au Cameroun, où plusieurs projets ont été réalisés. Par exemple, la réhabilitation du stade de la réunification à Douala. L’objectif était de renouveler le stade, d’augmenter sa capacité et d’améliorer les performances de l’installation pour mieux répondre aux intérêts locaux, nationaux, régionaux et internationaux actuels du Cameroun. Sa réhabilitation l’a ainsi placé parmi les quatre stades sélectionnés pour le championnat d’Afrique des nations 2020. Le groupe est également sur le projet d’achèvement des travaux du stade d’Olembé à Yaoundé. Ce stade a désormais une capacité de 60 000 spectateurs et est devenu un des stades phares du Cameroun et de l’Afrique centrale. La réhabilitation de la route nationale 3 — pénétrante Est — sur le territoire de la ville de Douala est également un projet du groupe. Ce projet dotera la ville de Douala d’une route 3×2 voies avec deux voies de transit et quatre voies de desserte avec plusieurs ouvrages d’art. Cette réalisation, toujours en cours de construction, améliorera sensiblement la sécurité et la fluidité de trafic sur cet axe majeur pour la région et les pays avoisinants. Dans le prolongement des voies de transit de la pénétrante Est, le projet doublera la capacité actuelle de franchissement de la rivière Dibamba. 

S’agissant des perspectives de développement du groupe, des projets d’ampleur sont à l’étude dans les pays riverains du Golfe de Guinée notamment en Côte d’Ivoire, en Guinée Conakry ou encore au Sénégal. Une fois encore, le Groupe privilégie des projets visant au développement d’infrastructures de première nécessité, notamment les routes, l’accès à l’eau ou encore les logements sociaux. Les perspectives de développement ne concernent pas que l’Afrique puisque nous avons des projets d’infrastructures éducatives et immobilières dans les départements d’outre-mer français, notamment à Mayotte, en Martinique et en Guadeloupe.

AFRIMAG : La plupart des contrats que vous signez sont dits EPCM (Engineering, Procurement and Construction Management). Quels sont les avantages de ce type de contrat pour vos clients étatiques ? 

Franck Mathiere : L’entreprise qui signe un contrat EPCM va représenter le Maître d’Ouvrage et coordonner le projet, mais veiller aussi à ce que l’ensemble du chantier se déroule correctement selon les besoins du projet. Plus généralement le contrat EPCM permet un contrôle des coûts, délais et dépenses, tout en proposant une certaine flexibilité dans le choix des fournisseurs et des matériaux, toujours dans un but d’optimisation du budget prévisionnel annoncé. Dans l’exécution de ces projets en mode EPCM, le groupe Fayolle cherche à s’appuyer sur un réseau d’entreprises locales, afin de promouvoir l’entrepreneuriat et la transmission du savoir-faire dans une optique de durabilité.

Les contrats EPCM sont en particulier adaptés lorsque les compétences en ingénierie et en gestion de projet sont susceptibles d’être séparées de la construction et de l’approvisionnement. Ils permettent par ailleurs plus de contrôle dans les processus. Ils sont plus adaptés pour des projets moins définis avec des changements prévisibles. 

 

Par Drissa Traoré, Correspondant Permanent - Burkina Faso
185 Corruption Financement Gouvernance Infrastructures Investissement Grand entretien

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