Lors de la signature de trois conventions avec SOS Villages d’Enfants, l’Hôpital d’Enfants CHU Ibn Rochd et l’Association Bayti, Omar Tazi, P-dg du groupe pharmaceutique marocain Sothema et président de la Fondation Omar Tazi confirme son engagement social et humanitaire
Pour plus d’informations sur cette Fondation, entretien avec son président, Omar Tazi.
AFRIMAG : Pour son plan d’action 2014, sur quels critères se base la Fondation Omar Tazi pour choisir ses partenaires ?
Omar Tazi : Depuis sa création il y a deux ans, la Fondation Omar Tazi table sur l’amélioration de la situation de l’enfant au Maroc. D’ailleurs pour nous, prendre en charge l’enfant est capital, et surtout l’accompagner jusqu’à l’obtention d’un diplôme. La signature de conventions avec SOS Village d’enfants, l’hôpital d’enfants CHU Ibn Rochd et l’Association Bayti, concrétise justement notre engagement. Vu que ces associations et organismes font un grand travail au profit des enfants confrontés à la précarité et à l’exclusion, la Fondation compte leur apporter son soutien et les doter de moyens pour réaliser leurs projets.
Quel est le budget alloué par la Fondation Omar Tazi à ce genre d’œuvres caritatives ?
Vu que les projets non pas encore étaient déterminés, le budget va de soi. Cela n’empêche que pour SOS village, il s’agit de prendre en charge les besoins de l’association qui accueille les enfants en difficulté. Pour l’hôpital Ibn Roch, notre action consisterait à prendre en charge les frais des opérations chirurgicales d’enfants de familles nécessiteuses.
La Fondation Omar Tazi comptera-t-elle étendre le périmètre de ses actions sociales sur le réseau africain de Sothema ?
Pour l’instant nous sommes en train de faire nos armes au Maroc, mais cela n’empêche que la Fondation Omar Tazi peut éventuellement mener des actions sociales au niveau du continent africain. D’ailleurs, Sothema assiste les pays africains dans le domaine pharmaceutique et assure la transmission de connaissances Sud-Sud, alors la Fondation fera de même sur le plan humanitaire et social bientôt.
Propos recueillis par Kabira Nait Hammou