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Ce partenariat cible tous les marchés où opèrent les 5 filiales d’Equity Group, à savoir le Kenya, l’Ouganda, le Rwanda, la Tanzanie et la République démocratique du Congo. L’accord, d’une durée de dix ans, pourrait être étendu aux futures filiales d’Equity Group. L’activation de la garantie se fera en trois phases, dont une première tranche de 115 millions de dollars déjà engagée. Elle vise prioritairement les entreprises dirigées par des femmes, les jeunes entrepreneurs et les initiatives dites «vertes», dans une perspective de croissance inclusive.

Le groupe financier kényan, Equity Group, et African Gurantee Fund - Fonds africain de garantie- ont signé un accord de garantie portant sur un montant de 500 millions de dollars, la plus importante ligne de garantie jamais octroyée jusqu’à présent par le Fonds africain de garantie. Elle permettra au groupe kényan de mobiliser jusqu’à 1 milliard de dollars de crédits aux PME et aux micro-entreprises

Pendant ces dix dernières années, le secteur bancaire kényan a connu de nombreuses transformations. En plus du renforcement des règles prudentielles, des consolidations ont eu lieu à travers des fusions et acquisitions, et de nouveaux investisseurs locaux et internationaux sont entrés sur le marché faisant de ce pays, l’une des principales portes d’entrée des banques internationales sur le continent. En 2024, les autorités ont relevé le seuil de capital minimum exigé pour les banques commerciales à 10 milliards de shillings kényans, environ 77 millions de dollars.

La Banque centrale du Kenya (CBK) lèvera le moratoire interdisant l’octroi de licences à de nouvelles banques commerciales à partir du 1er juillet 2025. Ce moratoire, en vigueur depuis le 17 novembre 2015, avait été instauré dans un contexte de difficultés de gouvernance, de gestion des risques et de fonctionnement au sein du secteur bancaire. Il visait à créer un environnement plus stable avant de rouvrir l’accès à de nouveaux entrants

Cette décision vise à stimuler les prêts et le financement au secteur privé et à soutenir l'activité économique, tout en assurant la stabilité du taux de change, indique le rapport. Elle intervient quelques jours après que les banques commerciales du pays ont demandé à la CBK de réduire davantage son taux directeur, en justifiant leur requête par la stabilité de l'inflation, du taux de change, et la nécessité de renforcer le crédit au secteur privé.

C’est peut-être un début de décrispation entre les établissements bancaires et les autorités monétaires. La Banque centrale du Kenya (CBK) a réduit son taux directeur de 75 points de base, le faisant passer de 10,75 % à 10 %. C’est ce qu’indique un communiqué de l’institution publié mardi 8 avril.

Au total, les dépenses de l’Etat culmineront à 22,1% du PIB avec l’objectif d’apporter des réponses aux attentes sociales pressantes de la population et de maintenir la soutenabilité de la dette. Une équation a priori complexe mais le gouvernement assure y arriver « grâce à la rationalisation des dépenses, la mobilisation des revenus et l'amélioration de la conformité fiscale ».

Le gouvernement kényan a approuvé la déclaration de politique budgétaire (le projet de loi de Finances) fixant les dépenses pour l'exercice fiscal 2025/2026 à 4.200 milliards de shillings, soit l’équivalent de 32,5 milliards de dollars, indique un communiqué de la Présidence de la République. C’est une hausse substantielle de 12% par rapport à l’exercice précédent.

Le marché de financements des start-up semble marquer une correction technique après plusieurs années de forte croissance. L’an dernier, les montants ont décroché de 24,14% par rapport à 2023, où 2,9 milliards de dollars avaient été levés. Par ailleurs, 188 entreprises ont levé au moins 1 million de dollars en 2024, contre 209 l’année précédente.

Les start-up africaines ont levé 2,2 milliards de dollars en fonds propres, dettes et subventions (hors sorties) en 2024, selon les données publiées lundi 6 janvier par Africa : The Big Deal. Dans sa méthodologie, cette plateforme recense uniquement les levées de fonds supérieures à 100 000 dollars

"Les négociations sont toujours en cours, mais un protocole d’accord pourrait être signé dès le début de l’année prochaine", a précisé le responsable. Bien que les détails sur la durée du bail et les types de cultures à produire restent inconnus, il est précisé que ce partenariat public-privé s’inscrit dans le cadre du projet Galana Kulalu, visant à développer l’irrigation agricole sur plus de 149 000 hectares de terres dans les comtés de Kilifi et Tana River.

Le groupe émirati Al Dahra, spécialisé dans l’agriculture à grande échelle, est en discussions avec le gouvernement kényan pour louer près de 81 000 hectares de terres agricoles situées dans une zone d’irrigation. L’information a été révélée le mercredi 18 décembre par Bloomberg, citant Ephantus Kimotho, Secrétaire principal au Département de l’Irrigation du Kenya